Glissant sur la pente verglaçante depuis Recovery, ma réaction à l’arrivée de ce neuvième d’un de mes ex-rappeurs favoris était d’y aller à reculons. Était-il capable de tomber plus bas encore? Mon intuition me disait que c’était possible et qu’il fallait envisager cette éventualité. Et ça s’est désastreusement confirmé. Avec REVIVAL, notre ancien cauchemar de l’Amérique devenu drug-free s’est transformé en tout ce qu’il détestait pour effrayer ce public qui se teignait en blond dans les années 2000, celui qui se levait pour le vrai Slim Shady. Un vrai scandale. Revue de mon live-tweet des 8 et 10 Janvier, en m’excusant par avance pour les coquilles qui se sont glissées spontanément.
La note : chiant comme une semaine de pluie/5.