Il est blanc, il est albinos, il est musulman, ancien SDF et il est américain. Brother Ali a tout d’une anomalie dans ce bas monde. Ce qui ne l’a pas empêché depuis une décennie d’être devenu l’un des rappeurs indé les plus respectés et appréciés du milieu. Il publie cette rentrée chez Rhymesayers son cinquième long-format, Mourning in American and Dreaming in Color, non pas produit par son collaborateur historique Ant (la moitié du duo Atmosphere) mais Jake One, producteur indépendant issu de la même maison qui n’a à rougir de son CV.
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